Depuis ses 18 ans, Raphaël fait sa place sur la scène nationale de l'art figuratif. Il a son actif deux expositions solos à Montréal et à Toronto. À l'instar de son père, il peint les rues de Montréal en développant un langage où il dramatise le sujet tantôt par une lumière contrastée et mordorée, tantôt diffuse et mystérieuse. Ces particularités lui confèrent un style à la fois classique et contemporain.